Sous la dictature nazie, l’occupation allemande et même dans des camps de prisonniers de guerre ou camps de concentration, les compositeurs non conformistes n’ont pas cessé d’écrire de la musique, sans savoir si elle pourrait être jouée un jour. Était-ce un moyen de survie? Une consolation dans une situation désespérée? Une manifestation de liberté d’esprit? De ces situations sont issues des œuvres souvent bouleversantes, d’une beauté extraordinaire, découvertes pour la plupart seulement par la suite. Ces enjeux feront l’objet d’une table ronde réunissant des historien-ne-s de la musique, puis d’un concert, où certaines des œuvres écrites dans ce contexte seront interprétées par des étudiant-e-s de la Haute école de musique de Genève.
Organisé par la Haute école de musique de Genève
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vendredi 23 mars
de 19h00 à 20h00 Conservatoire de musique de Genève (HEM), Grande salle
Espoirs sonores. Compositeurs privés de liberté entre 1933 et 1945
Intervenants
Modérateurs
La table ronde est suivie d’un concert
Lieu(x) de l'événement
Conservatoire de musique de Genève (HEM)
Grande sallePlace de Neuve 5, Genève, Suisse