La Renaissance a connu une liberté sexuelle que l’on n’imagine pas toujours. Parmi ses différentes expressions seront évoquées la poésie – avec les vers pornographiques composés par les plus grands poètes néo-latins pour célébrer les plaisirs de la chair –, les gravures de l’ouvrage I modi (Les positions) avec les vers très libres qui les commentent, et, enfin, l’imaginaire sexuel des Genevois du XVIe siècle, révélé par des sources disciplinaires et judiciaires.
En partenariat avec la Librairie Droz
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