Destruction des Bouddhas de Bâmiyân, du pont de Mostar, de Palmyre… Quand le patrimoine culturel est abattu par des groupes armés ou des catastrophes naturelles, quand il est laissé à l’abandon, qui décide de ce qu’il faut conserver, reconstruire ou laisser dans l’oubli? Les populations doivent-elles être consultées pour choisir le patrimoine qui doit être réhabilité? Les réponses demandent une réflexion transversale entre architecture, anthropologie, sociologie et des droits de l’homme.
En partenariat avec la HEAD-Genève
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