Voici vingt ans disparaissait Nicolas Bouvier, ce Genevois que la postérité a consacré comme un écrivain majeur. L’occasion est donnée de se placer dans le sillage de L’Usage du monde (1963), le premier chef-d’œuvre de l’homme de plume, pour examiner un rapport à la fois complexe et nécessaire à la liberté personnelle, sous l’angle de l’éducation, de la lecture, du voyage, de l’écriture et de l’amitié.
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